Ce monologue apporte des éléments à son auteur pour approcher le sens de la vie mais il est, aussi, porteur du handicap que constitue une absence de dialogue. Celui-ci évite le replis sur des convictions et une cour fermée. Il impose d'être au minimum deux, au mieux beaucoup. L'échange constitue une ébauche de vie en commun, une ébauche de société ; il rejette l'ignorance de l'autre et pousse à aller plus loin dans la réflexion.
Il est difficile de vivre isolé de tout et de tous ; il est difficile, aussi, d'être plongé au sein d'un monde rendu sourd par une médiacratie tentaculaire et une médiocrité invalidante. Comment résoudre cette quadrature, peut être en ayant l'immodestie de prendre un bâton de pélerins pour prêcher ...